Par Martine Thimond
Illustrations Floflette Pellegrin
Eternel amour
A vous, couple merveilleux,
Qui vient de ce pays mystérieux,
Voilà que chavire mon cœur,
A l'évocation du nom de Fraser.
Au-delà des Highlands,
Chevalier au cœur vaillant,
A trouvé sa damoiselle,
pour un amour éternel.
Sweet Highlander's heart
Lovely Highlander,
Called Jamie Fraser,
Here is your story
Of battles and victories.
Love is your guide,
Scoltland is your home,
Sun's rising up in the sky
Let you see Lallybroch
With your white lady,
Sweet and brave lassie
Ô combien mon cœur,
est empli de bonheur,
A voir ce pays enchanté
Habité par les Fées.
Écosse, mon Amour,
Contes-moi ton histoire,
Celle de Charles-Edward,
Qui partit pour toujours.
Écosse, la Belle,
Sors de tes entrailles,
Les légendes fidèles,
Qui t'ont coûtées tant de batailles
Voilà que la brume enveloppe l'horizon,
Au soir venu, les druides te guideront,
A travers pierres et bruyères,
Ton chemin, tu trouveras vers l'Univers.
Au pays des chardons,
Vous voici à l'unisson,
Pour contrer l'histoire
Voulue par Charles Edward.
Au fond de l'Écosse,
Après de si belles noces,
Un destin se trame,
Mais n'y perdez pas votre âme.
Voici que cette nature celte,
Offre de traverser les siècles,
Pour voler au secours,
De cet éternel Amour.
Maman, désespérément...
Quand, en mon sein,
Un enfant s'invite,
Espérance, enfin,
Te voilà si vite.
Te construire un monde meilleur,
C'est la tâche que tes parents
Font avec tant d'ardeur,
Et t'aimer puissamment.
Mais, je n'ai pu retenir,
Ni toi, ni mes larmes,
Et t'arracher à mon âme,
Pour te laisser partir.
Toi, mon enfant,
Qui a quitté mes entrailles,
A mon corps défendant,
Te voilà, telle une petite caille.
Je te regarde dormir,
Attendant ton réveil,
Tel un soleil,
Qui éclaire ma nuit.
Mais, blottie dans mon cœur,
Mon dieu, quelle douleur,
Te voilà envolée,
Ma jolie Poupée.
Moi, ta maman,
qui t'aime tellement,
Mon doux bébé,
Partie au pays des fées
Mo Chridhe
Mais, je n'ai pu retenir,
Ni toi, ni mes larmes,
Et t'arracher à mon âme,
Pour te laisser partir.
Toi, mon enfant,
Qui a quitté mes entrailles,
A mon corps défendant,
Te voilà, telle une petite caille.
Je te regarde dormir,
Attendant ton réveil,
Tel un soleil,
Qui éclaire ma nuit.
Mais, blottie dans mon cœur,
Mon dieu, quelle douleur,
Te voilà envolée,
Ma jolie Poupée.
Moi, ta maman,
qui t'aime tellement,
Mon doux bébé,
Partie au pays des fées
Mo Chridhe
Maman, désespérément...
Quand, en mon sein,
Un enfant s'invite,
Espérance, enfin,
Te voilà si vite.
Te construire un monde meilleur,
C'est la tâche que tes parents
Font avec tant d'ardeur,
Et t'aimer puissamment.
Voici le jour qui se lève,
Sur la montagne et les Glens,
Le soleil danse sur les collines,
Abreuvées d'eau cristalline.
Écosse, mon Amour,
Vivre pour mourir
Quel charmant bambin que voilà !
Couleur ébène, il se pose là
Autour de lui son univers,
Celui là, de ses pères et mères
Installé dans sa tribu,
Lové dans ces vastes étendues,
Chants d'amour et de prières,
De son monde, il en est fier.
Mais, au détour d'un rivage,
Ce long voilier a déboulé,
Embarquant pour un long voyage,
Les siens qui n'ont rien demandé
Valsant sur les mers déchaînées,
Tous ces pauvres gens enchaînés,
Ne peuvent rien faire qu'obéir,
Et, vivre pour mourir
Siècles de lumière
Ah ! ces siècles de lumière,
A la découverte du monde,
Ces cervelles sont si fécondes,
Pour le changer en cimetière.
Ces occidentaux débarqués,
Prêchant pour l'Humanité,
N'ont fait verser que terreur,
En tout grands seigneurs.
Tant d'arrogance en son sein,
Le fait se sentir important
Et dans son univers si mondain,
Le voilà, homme exploitant.
Et pourtant, elles prient, elles prient,
Ces pauvres personnes de couleur,
Mais, n'ont rien d'autre que la douleur,
Qui noie leurs âmes et leurs esprits.
Surtout ne pas les oublier,
Malgré les siècles qui ont défilé,
Laissons là, les fers et les colliers,
Et la Liberté, savoir l'apprécier